Péronne

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Entrée du Château de Péronne (Somme), où se trouve l'Historial de la Grande Guerre. Source : Licence Creative Commons. Libre de droit

> Site officiel de l’Historial de la Grande Guerre, deux musées : Péronne : * Fermeture jusqu’à fin août, pour cause d’importants travaux * - Le Centre d'accueil et le Musée de Thiepval réouvrent au public le 1er août prochain. Les horaires d’ouverture sont légèrement modifiés avec une ouverture au public à 10h00 (au lieu de 9h30) et une fermeture à 18h00.

- Programme détaillé -

Conference-mai-juin-2022-Peronne-Thiepval


Consulter l'offre pédagogique de l'historial >>>  Péronne


Au milieu des années 80, le Conseil général de la Somme initie une réflexion qui aboutira à la réalisation grâce à des fonds européens, nationaux, régionaux (Picardie) et départementaux, d'un musée international de la Grande Guerre (et non seulement de la bataille de la Somme). Il est décidé qu'il verra le jour à Péronne, sur ce que fut la ligne de front, à l'est du département, dans un remarquable bâtiment en béton blanc (créé pour l'occasion par le grand architecte Ciriani) encastré dans le château médiéval où se tint en 1468 la fameuse "entrevue" entre Louis XI, roi de France, et Charles le Téméraire, duc de Bourgogne.

Lorsqu'il ouvre ses portes le 1er août 1992, l'Historial de la Grande Guerre découvre à ses visiteurs une collection unique d'objets originaux de la vie quotidienne. Au centre des salles qui traitent chronologiquement le conflit, sont présentés les objets militaires, tandis qu'à leur périphérie sont exposés ceux de la vie civile et des familles (ces objets évoquent les aspects culturels, artistiques, éducatifs, économiques ou financiers des sociétés d'alors). Enfin, et c'est ce qui fait de l'Historial un musée véritablement international, ces objets proviennent des trois empires belligérants.

Tout aussi contemporaine que l'architecture, la scénographie favorise la compréhension et l'émotion : les uniformes sont par exemple, disposés horizontalement, dans des "fosses". Ainsi, sans qu'on ait recours au dangereux esprit de reconstitution, cette proximité avec l'objet devient une proximité avec l'événement.

 

La ville de Péronne

Comme Saint-Quentin, la ville connaît l'occupation allemande dès le 28 août 1914. La bataille de la Marne et celle de la Somme entraîneront des flux et reflux des occupants. Bombardée en 16 et en 18, c'est une ville en ruine que la 2° division australienne libèrera en septembre 18. Tels des protecteurs, le drapeau de cette division flotte à l'intérieur de la mairie et le monument australien du Mont Saint Quentin, sur la RN 17, semble veiller sur la colline. L'ancien village constituait un point stratégique d'observation et était un objectif très difficile à atteindre par son réseau de tranchées et de barbelés.

L'émouvant monument aux morts de la ville se trouve au bout de la rue des remparts : il s'agit d'une femme agenouillée brandissant un poing rageur au-dessus du corps d'un poilu qui vient de tomber. L'oeuvre est signée Paul Auban.

En bref...

À Péronne, l'Historial de la Grande Guerre, musée trilingue de référence internationale, s'inscrit dans un bâtiment moderne, prolongement du château médiéval. Il éclaire le visiteur sur les dimensions historiques, sociologiques et ethnologiques du premier conflit mondial. Il présente la vie quotidienne pendant la guerre à travers des témoignages de ceux qui l'ont vécue et porte un regard interactif sur le conflit. Projection de 56 films d'époque et collections d'objets, d'oeuvres d'art, de documents, de lettres et de cartes postales. Des uniformes des différents combattants entourés de pièces d'armement et d'objets personnels sont exposés ainsi qu'un ensemble de 50 eaux-fortes du grand peintre expressionniste allemand, Otto Dix.

 

Renseignements pratiques :

Historial de la Grande Guerre

Château de Péronne - Place André Audinot BP 20063 - 80201 Péronne cedex

Tél : 03 22 83 14 18 - Fax : 03 22 83 54 18

E-mail : doc@historial.org

 

Centre de documentation, service pédagogique, centre international de recherches, boutique, cafétéria. Labellisé "Tourisme et Handicaps".

 

Ouvert tous les jours de 10h à 18h (sauf le lundi du 1er novembre au 31 mars). Fermé de mi-décembre à mi-janvier.

Audioguide en français, anglais, allemand et néerlandais

 

Comité du tourisme de la somme

21 rue Ernest-Cauvin - 80000 Amiens

Tél. : +33 (0) 322 71 22 71 - Fax : +33 (0) 322 71 22 69

e-mail : accueil@somme-tourisme.com

Le Comité du Tourisme de La Somme se tient à votre disposition pour tout type de renseignements liés aux Champs de Bataille de La Somme et au Circuit du Souvenir : commémorations, moyens d'accès, modes de transport, visites guidées pour groupes et individuels, survol en hélicoptère, hébergements, etc...

Le CDT édite également une gamme de brochures sur le Tourisme de Mémoire.

 

Comité du tourisme de la Somme

Site de L'historial de Péronne

La Somme 14-18

Somme remembrance association

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Place André Audinot 80200
Péronne
03 22 83 14 18

Tarifs

Adultes : 7,50€Jeunes (6 à 18 ans), anciens combattants, enseignants, étudiants, demandeurs d'emploi : 3,80 €Plus de 60 ans : 6,20 €Famille (2 adultes et 2 enfants maximum) : 20 €Enfants jusqu'à 6 ans, membres ICOM, association des conservateurs, journalistes, membres de l'association "Les Amis del'Historial" : GratuitPasseport culturel lycées (Picardie) : 3,20 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les jours de 10h à 18h

Fermetures annuelles

De la mi-décembre à la mi- janvier.

Courriel : doc@historial.org

Ecomusée du Morvan - Maison Vauban

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Salle d'exposition. Source : Maison du Tourisme du Parc du Morvan

Maison à thème du Parc naturel Régional du Morvan, l'écomusée Vauban présente la vie et l'œuvre du Maréchal.

Créée en septembre 1980 par quelques habitants de Saint-Léger-Vauban, village où Sébastien le Prestre a été baptisé et où l'on suppose qu'il est né, « l'association des amis de la maison Vauban » a pour objectif de faire connaître l'oeuvre multiforme du Maréchal en agissant comme centre de renseignements, par la publication d'ouvrages de Vauban ou sur Vauban.

En 1983, à l'occasion des cérémonies commémoratives du 350ème anniversaire de la naissance de Vauban, l'association publia ainsi son premier ouvrage intitulé « Vauban, sa vie, son oeuvre ».

Elle en a édité à ce jour 14 autres parmi lesquels « Vauban et le Morvan » de D.AUGER ou bien encore « Vauban artisan du bien public » de G.HACHON.

Surtout, « les amis de la maison Vauban » ont décidé de publier en partie certains écrits oubliés du Maréchal, tels le « Projet d'une dîme royale » ou la « description géographique de l'élection de Vézelay ».

L'autre mission de l'association consiste à gérer l'écomusée Vauban appelée également maison Vauban. Etablie en 1980 dans une ancienne salle de classes désaffectée, l'exposition Maison Vauban, réalisée avec l'aide du Conseil Municipal, du Conseil Général de l'Yonne et du Parc Naturel Régional du Morvan, présente la vie et l'oeuvre du célèbre ingénieur.

En mars 1996, elle a rejoint les maisons à thème du Parc Naturel et s'est installée sur la place du village, dans une ancienne maison morvandelle, demeure et atelier du peintre et sculpteur bourguignon Marc HENARD (1919-1992) dont les oeuvres sont encore visibles à l'église Saint-Léger-Vauban et à l'abbaye de la Pierre-qui-vire.

L'écomusée se compose de trois salles d'exposition richement illustrées et documentées où sont présentées : Vauban le morvandiau, l'ingénieur militaire et l'honnête homme dans son siècle.

Un audiovisuel de 20 minutes et un DVD de 15 minutes créés en 2003 viennent compléter la visite (traduction ou version en anglais et allemand). La maison Vauban est donc à découvrir car elle met en valeur les aspects les moins connus du Maréchal : le géographe, le philosophe et le réformateur de la pensée économique et sociale.

 

Association des Amis de la maison Vauban

4 Place Vauban - 89630 Saint-Léger-Vauban

Tel : 03 86 32 26 30 - Fax : 03 86 32 28 80

Email : maison.vauban@wanadoo.fr

 

Site de l'écomusée du Morvan - Maison Vauban

Association Vauban

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Infos pratiques

Adresse

4 Place Vauban - 89630
Saint-Léger-Vauban
03 86 32 26 30

Tarifs

Plein tarif : 5 €Tarif réduit(dont groupes + de 10) : 4 €Enfants de 8 à 15 ans : 1 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 4 avril au 11 novembre de 10H à 13H et de 14H30 à 18H30, et toute l'année sur rendez-vous pour les groupes de 10 personnes et plus.Avril, mai, octobre et novembre :week-ends, jours fériés et vacances scolaires toutes zones confondues (sauf mardi).Juin et septembre : du mercredi au dimanche inclus.Juillet et août : 7J/7.

Musée Serge Ramond, Verneuil-en-Halatte

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Graffiti militaires datant de la Seconde Guerre Mondiale. Source : site memoiredesmurs.com

Premier musée européen consacré à la sauvegarde des marques, symboles, graffiti gravés ou sculptés par l'homme, depuis la Protohistoire à nos jours...

3500 moulages suggérant aux visiteurs ce qu'étaient tous les rêves d'évasion et les préoccupations des prisonniers, des soldats, des dilettantes... leurs espoirs, leurs souffrances...

La collection la plus singulière du Musée : l'accumulation en un seul lieu de tous les témoignages des soldats de la Première Guerre mondiale, qui apporte une réflexion sentimentale profonde.

Tous les graffitis sculptés sous terre, il y a 80 ans, dans la pénombre et le froid des carrières, constituent le patrimoine hérité de ces hommes, de leur trace passagère et de leur mémoire !

 

Musée Serge Ramond - Musée de la Mémoire des Murs

Place de Piegaro – 60550 Verneuil-en-Halatte
Tél/fax : 03 44 24 54 81

musee@memoiremurs.com

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Infos pratiques

Adresse

Place de Piegaro - 60550
Verneuil-en-Halatte
Tél/fax infos et réservations groupes : 03 44 24 54 81Tél. conservateur : 03 44 25 30 10

Tarifs

Adultes : 4,60 €Enfants : 2,30 € (de 8 à 16 ans)Groupes adultes : 3,80 €Groupes scolaires : 1,80 € (gratuité pour les enseignants et les accompagnateurs)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les joursde 14 h à 18 h(sauf mardi et jours fériés)Visites guidées surrendez-vous pour les groupes

Mémorial de l’Armistice

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Une clairière universellement connue et ses 2 armistices : les 11 novembre 1918 et 21 juin 1940.

Le 8 novembre 1918, le train des plénipotentiaires allemands rejoint le train du Maréchal Foch en forêt de Compiègne. Le 11 novembre à 5h15 l’armistice est signé. Il prend effet à 11h00. En 1922, une clairière est déboisée et plusieurs monuments sont inaugurés. En 1927 le wagon historique y revient dans un abri après un séjour de 6 années dans la cour des invalides. En 1937, une statue de Foch est inaugurée.

Le 21 juin 1940, Hitler et son état-major visitent la clairière puis montent dans le wagon. Les conditions de l’armistice sont lues à la délégation française dirigée par le Général Huntzinger. La signature aura lieu le 22 juin. Le wagon est chargé sur une remorque et part pour Berlin afin d’y être exposé. Les monuments seront démontés et emmenés en Allemagne. Seule la statue du Maréchal  Foch sera épargnée. Les monuments seront retrouvés par les troupes russes et ramenés en 1945. Le wagon 2419D a été détruit en 1945 en forêt de Thuringe à côté du camp de prisonnier d’Ohrdruf. L’incendie de la gare où se trouvait le wagon est accidentel.  En 1950, la Compagnie des wagons-lits offre en remplacement le wagon 2439D issu de la même série. Il sera installé dans un bâtiment identique à celui de 1927. Depuis 1950, il n’a jamais quitté le musée.

Un jardin de la mémoire est créé en 2012 pour commémorer tous les combats de l’Armée française depuis 1870. Un anneau de la paix est installé dans la clairière en 2014. Le musée a été agrandi en 1992 puis agrandi et rénové en 2018. Depuis les cérémonies du centenaire et la pose d’une plaque franco-allemande, les collections continuent à être complétées, notamment en 2021, dans la salle Première Guerre mondiale, par un des derniers taxi de la Marne.

Le musée offre, depuis sa dernière extension, une chronologie historique et pédagogique de 1914 à 1950.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

Route de Soissons - 60200
Compiègne
03 44 85 14 18

Tarifs

Plein tarif : 5€Tarif réduit : 3€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 15 septembre au mois d'avril tous les jours sauf le mardi de 10h à 17h30 dernières admissions 17h.Du mois d'Avril au 15 Septembre tous les jours de 10h à 18h dernières admissions à 17h30

Fermetures annuelles

Fermé le mardi

Musée du 5 juin 1944 "Message Verlaine"

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Façade du Musée. Source : Archives de Tourcoing.

Ce musée de la Seconde Guerre mondiale est installé dans le bunker de commandement, d'un type rare (SK1), de l'état-major de la 15ème armée allemande, présent à Tourcoing de 1941 à 1944.

Ce fut dans ce bunker, camouflé par un parement de briques pour le protéger des bombardements alliés, que le 5 juin 1944 à 21 h 15 le message "Verlaine" ("les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon coeur d'une langueur monotone"), fut entendu et analysé par les Allemands comme annonçant, effectivement, le débarquement du 6 juin 1944.

Dans ce musée sont évoqués divers aspects de la Seconde Guerre mondiale : le mur de l'Atlantique, la guerre des ondes entre occupant et résistants, le fonctionnement d'un état-major, et, renouvelée chaque année, une exposition à thème sur des opérations militaires de la Seconde Guerre mondiale.

Bien des victimes s'inscrivent dans la démarche du devoir de mémoire qui s'attache à l'évocation des combats et épreuves de ceux qui ont souffert et lutté pour la liberté et la défense des valeurs citoyennes.

 

Musée du 5 Juin 1944 : "Message Verlaine"

4 bis avenue de la Marne 59200 Tourcoing France

Par téléphone

- Tourcoing-Tourisme :
+ (33) 03 20 26 89 03


- Musée (jours d'ouverture) :
+ (33) 03 20 24 25 00 

 

Pour les groupes scolaires ou associations souhaitant visiter le musée en dehors des dates et horaires habituels, prendre rendez-vous au Musée ou par téléphone

 

museedu5juin1944.asso.fr/

Site du comité départemental du tourisme du Nord

Site de l'office du tourisme de Lille

Site du comité régional du tourisme de la région Nord

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Infos pratiques

Adresse

4 Bis Avenue de la Marne 59200
Tourcoing
03.20.24.25.00

Tarifs

Tarifs :Adultes : 5 € . 10/15 ans : 3 € .- 10ans : gratuitGroupe (à partir de 10 personnes) : 4 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites guidées les 1er et 3ème dimanche de chaque mois, de 9h à 12h et de 14h à 18h.

Musée des Canonniers Sédentaires de Lille

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L'un des nombreux canons de la collection du Musée. Source : site museedescanonniers

Situé dans une aile l'ancien couvent des sœurs Urbanistes datant de 1720, le musée des Canonniers de Lille compte plus de 1500 pièces de collection évoquant cinq siècles d'histoire du Bataillon...

Situé au sein de l'ancien couvent des sœurs Urbanistes, dans une aile datant de 1720, le musée des Canonniers de Lille recèle plus de 1 500 pièces de collection évoquant cinq siècles d'histoire du Bataillon et, par-delà, de la ville.

Unique descendant, en France, des confréries militaires - et l'un des plus anciens corps d'artillerie d'Europe -, le bataillon des Canonniers Sédentaires de Lille a en effet été créé en 1483, sous le vocable de la Confrérie de Sainte-Barbe. En reconnaissance de la brillante conduite des Canonniers lors du siège de 1792 mené contre les Autrichiens, Napoléon Bonaparte réorganisa leur Bataillon en 1803, leur faisant don de cet ancien couvent afin qu'ils puissent le transformer en hôtel.

Le portique érigé en 1805 donne accès à la cour d'honneur. Outre un mortier autrichien éclaté en 1792, y prennent place deux obusiers - le 105 HM 2 et le 155 BF 50 - aux côtés du mythique canon de 75. Dans le hall d'entrée 11 plans de Brun - Lavainne dressés sous Louis-Philippe décrivent l'évolution de Lille de l'an mil à 1835. Le palier permet de découvrir des boulets datant du siège de 1792 ainsi que les portraits de deux personnages emblématiques de l'histoire du bataillon : le capitaine Ovigneur, héros de la Résistance face aux Autrichiens, et le général Négrier.

La salle de la Confrérie brosse les grands traits de l'Ancien Régime et de la Révolution à Lille. Particulièrement précieuses, les plus anciennes pièces de collection remontent au XVIème siècle. Sont naturellement évoqués les sièges de 1667 à 1708. La période contemporaine est retracée dans la salle Négrier. Exposés en son milieu, les deux canons Gribeauval de 4 constituent le plus beau fleuron des collections du musée. Donnés par le premier Consul en 1803, ils sont demeurés intacts et complets : de semblables pièces sont extrêmement rares en France et dans le monde.

Plusieurs vitrines présentent des maquettes, des médailles et des insignes, ainsi que nombre d'armes blanches. Le souvenir des grands conflits reste présent : en particulier la guerre de 1870 (illustrée en premier lieu par les souvenirs du général Faidherbe) et la Première Guerre Mondiale. Le souvenir du général Négrier et la vie quotidienne des canonniers au XIXème siècle sont également évoqués. La salle d'honneur comporte un mobilier de style flamand du XIXème siècle. On y remarque l'étendard du Bataillon bien que, fait rarissime, (on ne recense que trois cas semblables en France) celui-ci n'appartienne pas à l'armée d'active.
Les anciens étendards, ainsi que les drapeaux des amicales régimentaires dissoutes, ornent le balcon. Sa visite constitue, notamment grâce aux plans de Lille une bonne introduction à la visite pédestre des restes de l'enceinte urbaine. Portes de Roubaix et de Gand, toutes proches, puis cheminements vers la Citadelle de Vauban, le long de sentiers ouverts près des restes des anciens remparts Nord-Ouest et qui font l'objet de plans d'aménagement. Il faut ici passer par la plaine Winston-Churchill, le site de la Poterne et la Porte d'eau, l'écluse du Grand Carré et le Parc de la citadelle.

 


 

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Infos pratiques

Adresse

44 rue des canonniers 59000
Lille
03 20 55 58 90

Tarifs

Normal : 5€ / Réduit : 4€ (militaires, étudiants, Amis des Musées) / Moins de 15 ans : gratuit si accompagné / Groupe (- 15 personnes) : 3€ par personne (+ guide 20€) / Groupe (+ 15 personnes) : 2€ par personne (+ guide 20€)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Le samedi de 10h à 17h en basse saison et de 10h à 18h en haute saison / Visite possible en semaine pour les groupes, sur rendez-vous

Maison natale Charles de Gaulle

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© MNCDG / CD59

Charles de Gaulle a vu le jour au 9, rue Princesse à Lille dans la demeure de ses grands-parents maternels, le 22 novembre 1890.  


Consulter l'offre pédagogique >>>  © MNCDG / CD59


Cette maison fut le lieu de retrouvailles familiales pendant toute son enfance et sa jeunesse. C’est dans une famille unie autour de valeurs communes (patriotisme, ferveur religieuse, sens de l’engagement…) et dans un contexte géopolitique en plein bouleversement, que s’est forgé le caractère du futur Président de la Ve République.

Monument historique, la Maison natale Charles de Gaulle a pour vocation de faire découvrir à un large public l’enfance et la genèse de celui qui deviendra le plus illustre des français.

La Maison natale Charles de Gaulle a fait l’objet d’une campagne de travaux de grande ampleur en 2020 qui a permis de conforter la structure de l’habitation mais aussi de la rénover complètement (décors restaurés, pièces de vie réhabilitées, jardin d’hiver restitué…). La maison recrée l’ambiance d’un intérieur caractéristique de la bourgeoisie industrielle du Nord à la fin du XIXe siècle telle que Charles l’a connue enfant.

Une visite 100 % immersive !


 

 
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Infos pratiques

Adresse

9 rue Princesse 59000
Lille
03 59 73 00 30

Tarifs

6 euros avec audioguide compris / Gratuité : Pour les moins de 26 ans, pour tous, chaque jour en « Happy hour » de 17h à 18h, le 1er dimanche du mois

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours (sauf le mardi) de 10 h à 18 h

Fermetures annuelles

Fermé le 1er janvier, 1er mai, 25 décembre et le week-end de la braderie de Lille

Gros ouvrage Maginot du Hackenberg

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VENEZ VISITER LA LIGNE MAGINOT EN METRO.


La visite de ce gros ouvrage de la Ligne Maginot apporte un nouveau regard sur une formidable fortification de ce XXème siècle et sur la Seconde Guerre mondiale.

Avec ses 19 blocs de combat et ses 10 km de galeries, l’ouvrage du Hackenberg est le géant de la Ligne Maginot.

Sa construction débuta dès 1930 parmi les tout premiers. Il fut en fait le prototype des ouvrages d'artillerie de la ligne Maginot. 1800 ouvriers environ travaillèrent avec des moyens relativement rudimentaires pendant six années pour construire les 19 blocs de combat et percer environ 10 kilomètres de galeries. Après 1933 et l'achèvement du gros oeuvre, on installa l'équipement intérieur et l'armée française prit livraison de l'ensemble en 1936.

Après la déclaration de guerre en 1939 et la période de vigilance maximale de la 'Drôle de guerre', le Hackenberg remplit son rôle lors de l'offensive allemande de 1940 et sa reddition ne fut effective que quelques jours après l'armistice. En novembre 1944, il fut investi par la 3e armée américaine du général PATTON lors de la terrible bataille pour la libération de la Moselle.

Sous la conduite d’un guide de l’association AMIFORT, le public y découvre des installations d’origine en parfait état de fonctionnement, une usine électrique et des groupes électrogènes en état de marche, des salles reconstituées à l’identique et un musée militaire.

La visite se poursuit à bord du petit train d’époque qui transporte les visiteurs vers les blocs de combat, dont l’imposant bloc 9 où l’on peut assister à la démonstration du fonctionnement de sa tourelle d’artillerie de 163 tonnes.

Après une sortie en surface, les visiteurs découvrent le bloc 8 qui porte encore les stigmates des combats de 1944 entre les troupes allemandes et américaines.

C'est un voyage dans le temps et dans l'Histoire d’une formidable fortification du XXème siècle que les bénévoles et salariés de l'association AMIFORT vous proposent.

L’ouvrage du Hackenberg est l’un des très rares ouvrages militaires possédant un circuit pédestre balisé par le Club Vosgien qui vous permet d'admirer les dessus de ces 19 blocs de combat en transitant par le Mur Antichar de 800 mètres de long et 8 mètres de haut, une curiosité unique en Lorraine.

La visite du fort dure environ deux heures et se déroule dans un environnement souterrain où la température est stabilisée à 12° toute l'année. Pour votre confort prévoir des vêtements en conséquence.

Compte tenu des contraintes liées à la visite d'un ouvrage souterrain ancien à plusieurs niveaux, seule la découverte de quatre-vingt pourcents du parcours est assurée pour les personnes à mobilité réduite. Les poussettes sont acceptées.

Une boutique souvenir vous est proposée à la fin de la visite.

 

Sources : ©GROS OUVRAGE MAGINOT DU HACKENBERG - PHOTOS libre de droit Crédit photo association AMIFORT
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Infos pratiques

Adresse

Association AMIFORT - 61 BIS GRANDE RUE 57920
Veckring
03 82 82 30 08

Tarifs

- Plein tarif 10 €- Jeunes de moins de 16 ans 5 €- Groupes 7 €- Gratuité pour les enfants de moins de 4 ans et les responsables de groupe- Pass/tarifs groupés éventuels 7 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvrage ouvert au public 7 jours sur 7 Pour les groupes : matin et après midiPour les visiteurs individuels : du lundi au vendredi départ à 14h30 précises etLes samedis, dimanches et jours fériés départ dès 14h puis toutes les quinze minutes jusqu’à 15h30 (15h30 dernier départ pour 2h30 de visite guidée)

Fermetures annuelles

Du 22 au 25 août 2016 et le 1er novembreOffice de tourisme de référence : 16 rue du vieux collège - 57100 Thionville

Courriel : amifort@orange.fr

Musée de la maison de la dernière cartouche

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La Dernière Cartouche, d'après le tableau d'Alphonse de Neuville. ©Musée de la dernière cartouche

Le musée de la maison de la dernière cartouche est l'un des sites de mémoire les plus marquants de la guerre de 1870.

 


Consulter l'offre pédagogique du musée >>> Bazeilles


 

La maison de la dernière cartouche "Grâce surtout à l'activité de M. le capitaine Aubert, la maison fut rapidement mise en état de défense . ce brave officier, prenant un fusil, se plaça ensuite à l'une des fenêtres, et, grâce à sa merveilleuse adresse, il amena chez les hommes une émulation qui fut loin d'exclure le calme.

Cependant, malgré les pertes considérables qu'il éprouvait, l'ennemi avançait toujours. Voyant que notre maison allait être cernée et me trouvant dans l'impossibilité de marcher, j'engageai les officiers qui se trouvaient avec moi à me laisser avec quelques hommes et à se retirer sur le gros de la division. Pas un ne voulut y consentir et tous me déclarèrent qu'ils se défendraient avec moi jusqu'à la fin (...) Au bout de deux heures, nous fûmes complètement cernés par le 15e régiment bavarois.

Bientôt notre maison se trouva dans le plus piteux état . les portes et les fenêtres étaient percées à jour . notre toiture à moitié enlevée par un obus qui nous blessait quatre ou cinq hommes. Malgré cela la lute continua toujours avec acharnement. Elle ne cessa qu'avec nos munitions". Commandant Lambert, "Rapport sur la bataille de Bazeilles", in Habeneck Charles, les régiments martyrs, Paris, Pagnerre, 1871.

Le musée de la maison de la dernière cartouche à Bazeilles est l'un des sites de mémoire les plus marquants de la guerre de 1870 . II rappelle les combats qui opposèrent durant deux jours les deux brigades de la "Division Bleue" des Troupes de la Marine du général de Vassoigne(1) aux soldats Bavarois commandés par le général Von der Thann. La bataille débuta véritablement le 31 août vers midi lorsque la 2e brigade du Général Martin des Pallières reçut l'ordre de reprendre le village de Bazeilles - site stratégique - qui venait de tomber aux mains de l'ennemi. Après une journée de combats acharnés et grâce au soutien de la 1ère brigade du Général Reboul arrivée en renfort vers 16 heures, le village fut complètement repris à la tombée de la nuit. Mais le 1er septembre à l'aube, les soldats du général Von Der Thann attaquent à nouveau Bazeilles. Malgré les nombreux assauts qui permirent de repousser à plusieurs reprises l'ennemi, la division de Marine, submergée par le nombre et la puissance de feu des Bavarois, fut contrainte, en fin de matinée, à la retraite vers Sedan. C'est à ce moment qu'eut lieu l'épisode de la maison de la dernière cartouche.

Dans un village incendié, détruit par les obus d'artillerie tirés depuis la veille, une trentaine d'officiers, sous-officiers et soldats de l'infanterie de Marine se réfugièrent, aux côtés du commandant Lambert, dans la maison Bourgerie - modeste auberge de deux étages et dernière demeure du village de Bazeilles sur la route de Sedan - et menèrent, pendant près de quatre heures, une résistance acharnée contre les soldats Bavarois. Finalement encerclés, en manque de munitions, le capitaine Aubert tira, en milieu d'après-midi, la dernière cartouche de la fenêtre de la grande chambre du premier étage. Un mouchoir blanc mis au bout d'un fusil annonça ensuite la reddition des marsouins et le commandant Lambert, blessé au pied, sortit le premier de la maison. La division de Marine a perdu, durant toutes ces heures de bataille, 2 655 hommes dont 100 officiers et 213 sous-officiers.

Les soldats bavarois en perdirent plus du double . ils se livrèrent dés le lendemain des affrontements à d'atroces représailles contre la population de Bazeilles dont une partie avait pris part aux combats aux côtés des Troupes de Marine . le village fut incendié, certains habitants fusillés, brûlés vifs ou arrêtés puis déportés. On dénombra ainsi plus d'une quarantaine de victimes civiles dans le village. Cent cinquante autres devaient mourir au cours des six mois suivants du fait des sévices endurés. Cette résistance héroïque valut à la ville de Bazeilles d'être décoré de la légion d'honneur en 1900. Un insigne que l'on retrouve encore sur les armes de la ville aux côtés de l'ancre des troupes de marine et d'une maison en flammes. Elle lui permit également de devenir, dès le lendemain de la défaite, un lieu important de mémoire et de pèlerinage. Le 1er anniversaire des combats eut lieu le 1er septembre 1871. Ainsi, le 19 mars 1875, le courrier des Ardennes publia un article dans lequel il annonçait l'existence d'un musée à Bazeilles : "MM. Bourgerie père et fils, entre autres, ramassèrent une quantité d'objets, et qui forment aujourd'hui un véritable musée d'un grand intérêt". Des objets furent exposés dans une des pièces du rez-de-chaussée de la maison. En mai de la même année, le général de Vassoigne visita les ruines de la maison de la dernière cartouche et en novembre un premier monument fut élevé en face de l'église. Mais la première cérémonie importante se déroula le 31 août 1895, soit 25 années après les faits, en présence de l'ancien commandant Lambert, devenu général.

Mais c'est en 1899 qu'Arthur Meyer, directeur du journal Le Gaulois, lança une souscription publique pour financer l'achat de la maison afin "de la convertir en un modeste musée consacrée à la mémoire des héros qui moururent là". Le 1er août 1909, le journal la céda finalement au Souvenir Français. Une foule considérable pour l'époque participait à la cérémonie. Il fallut néanmoins attendre le 3 septembre 1950 pour qu'ait lieu la première commémoration nationale des combats de 1870 avec la participation des Troupes Coloniales. Elle le fut à l'initiative du Comité National des Traditions de l'Arme créé en mars de la même année par deux sous-officiers animés par la volonté de restaurer le musée pillé pendant la guerre 1939-1945 et de remettre en état l'ossuaire militaire de Bazeilles très dégradé. Une convention avait été signée entre le Comité et le Souvenir Français, propriétaire de la maison, aux termes de laquelle le premier devenait responsable de l'entretien, de l'administration et de la gestion du musée et, naturellement, propriétaire des collections qui s'y trouvaient. A cette gestion s'ajouta celle de l'ossuaire bâti entre 1876 et 1878 à la bordure sud du cimetière de la ville, à une centaine de mètres du musée et contenant les restes de 3 000 combattants français et allemands.

Le comité national des traditions des Troupes de Marine ayant décidé de la rénover, la maison de la Dernière Cartouche qui reçoit en moyenne 2 000 visiteurs par an a été fermée de janvier 2003 à août 2005. Cette importante opération a été financée par une souscription lancée au sein des Troupes de Marine, avec la participation du Souvenir Français et grâce aux subventions accordées par la Préfecture Régionale et la DMPA, le Conseil Régional de Champagne Ardenne et le Conseil Général des Ardennes. Les travaux ont porté sur la mise en sécurité et en conformité des installations. Un grand nombre d'objets ont été restaurés par des spécialistes. Quand aux aménagements muséographiques proposés, ils avaient pour objectif de conserver à la maison son authenticité et son caractère émouvant tout en la rendant plus attractive grâce à l'utilisation des nouvelles technologies. Le cheminement pédagogique de la visite comprend : Au rez-de-chaussée, un espace accueil ainsi que la première pièce muséographique, dite salle Lambert, consacrée à la guerre de 1870 et au rôle des Troupes de Marine dans ce conflit. Au premier étage, la salle Delaury présente la bataille de Sedan, des souvenirs des deux armées en présence et une vitrine rappelant le sacrifice d'une partie de la population civile. Mais les pièces les plus importantes du musée se trouvent dans les salles Aubert et Lambert centrées sur les combats de Bazeilles. Dans la première, les visiteurs pourront découvrir le célèbre tableau d'Alphonse de Neuville peint en 1873, intitulé "la dernière cartouche", tandis que la seconde est celle du dernier combat d'où fut tirée la "dernière cartouche".

L'accueil des personnes invalides a été étudié et en partie résolu grâce à la construction d'un bloc hygiène adapté. Néanmoins ceux d'entre eux qui se déplacent en fauteuil roulant, ne peuvent avoir accès à l'étage. Il eut fallu pour cela démolir la maison et la reconstruire autour de l'escalier adapté à leur état. A terme, le musée des Troupes de Marine s'intègrera au "pôle de Mémoire" que la communauté de communes du pays sedanais souhaite développer à Sedan, et qui permettra la mise en réseau des principaux sites de Mémoire de la région.

 

Nota (1) - Cette division formée des quatre régiments de l'infanterie (1, 2, 3 et 4) et du 1er régiment de l'artillerie de la Marine avait été initialement rassemblée en vue d'effectuer une manoeuvre de déception en mer Baltique. Les désastres survenus en Alsace et en Lorraine dès les premiers combats imposent au commandement français de regrouper ses forces disponibles au camp de Chalons sur Marne pour tendre la main à son armée de l'Est (Bazaine) enfermée dans Metz. Baptisée "Division Bleue" du nom de la couleur de ses uniformes, elle fait partie du XIIe corps d'armée(Général Lebrun) dont elle constitue la 3e division (les deux autres ayant été mises sur pied hâtivement avec des personnels récupérés dans les dépôts et des jeunes engagés ou rappelés ne constituent pas des unités solides). Elle est composée de soldats dont la plupart sont des engagés, chevronnés, entraînés par de rudes campagnes lointaines et déjà aguerris. Ses cadres subalternes ont gagné leurs galons au feu et les cadres supérieurs sont dotés d'une solide expérience du combat. La population civile ne s'y trompe pas qui leur réserve partout un accueil chaleureux.
 

La Maison de la dernière Cartouche

12 rue Dernière Cartouche - 08140 Bazeilles

Tél : 03 24 27 15 86

 

https://musees-de-france-champagne-ardenne.culture.fr/musee_bazeilles.html

 

Théâtre d'un épisode héroïque de la guerre de 1870 où s'illustra la division de Marine dite "Division Bleue" Entièrement rénové, le musée présente un historique des combats des 31 août et 1er septembre 1870, des tableaux, armures et uniformes de l'époque.

 

Le musée est fermé les lundis et mardis.

Fermeture annuelle du 20 décembre au 15 janvier.

Visite du musée du 15 juin au 30 septembre de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h

du 1er octobre au 14 juin de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h

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Infos pratiques

Adresse

12 rue Dernière Cartouche 08140
Bazeilles
03 24 27 15 86

Tarifs

Adultes : 3 € Enfants : 1,50 € Militaires et anciens combattants : 1,50 € Groupes adultes: 1,50 € Groupes enfants: 0,50 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 15 juin au 15 septembre : 10h-12h et 13h30-18h Du 15 septembre au 15 juin : 13h30-17h

Fermetures annuelles

Fermé le lundi et le mardi.Fermeture annuelle du 15 décembre au 5 janvier

La Coupole

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©La Coupole

Située à 5 km de Saint-Omer, La Coupole figure parmi les vestiges les plus impressionnants de la Seconde Guerre mondiale. En quelques chiffres, c’est un dôme colossal de 71 mètres de diamètre, 55.000 tonnes de béton armé et 5,5 mètres d’épaisseur !


Consulter l'offre pédagogique du centre >>>  Saint-Omer

 

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Par sa masse écrasante, par le caractère souterrain de ses installations, par la souffrance des travailleurs forcés qui l’ont édifié, le site constitue un lieu symbolique de la folie nazie.

Il s’agit de l’une des « constructions spéciales » édifiées par l’armée allemande, en 1943-1944, pour permettre la mise en opération de nouveaux systèmes d’armes V destinés à frapper l’Angleterre.

Cet immense bunker, construit par l’organisation Todt en 1943-1944, était destiné à stocker, préparer et lancer vers le centre-ville de Londres l’arme secrète de Hitler : la fusée V2.

Ce furent les bombardements, puis la percée des troupes anglo-américaines en Normandie, à la fin juillet 1944, qui incita les Allemands à abandonner le chantier de La Coupole, à quelques semaines de son achèvement. Ainsi, aucune fusée V2 n’a pu décoller d’un site conçu comme la première base de missiles stratégiques de l’Histoire.

Réhabilité en 1997, le Centre d’Histoire présente deux circuits de visite : « Les Armes secrètes d’Hitler : V1 et V2 » et « Le Nord de la France dans la main allemande » sur les grandes périodes de l’Occupation : l’invasion, l’exode, la vie quotidienne, la Résistance, la collaboration et la Libération.

Vous découvrez également que derrière cette arme, il y a le parcours d’un jeune ingénieur allemand, Wernher von Braun, inventeur de la fusée V2, récupéré par les Américains au lendemain de la guerre et qui mettra au point, l’immense fusée Saturn V qui enverra l’Homme sur la Lune….

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Infos pratiques

Adresse

Rue André Clabaux 62570
Wizernes
03 21 12 27 27

Tarifs

Voir site internet

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De 9h à 17h30 se septembre à mars / De 9h à 18h d’avril à juin / De 9h à 19h en juillet et en août

Fermetures annuelles

Fermeture les 25/12 et 1/01 et les deux premières semaines de janvier