Production intensive en matériel et en munitions

Bombardement par avion de la maternité et de l'hôpital civil de Rosendaël et de l'hôpital civil de Dunkerque dans le Nord

Des rapatriés des territoires occupés arrivant à Evian-les-Bains en septembre 1917

L'orphelinat des Arts

Une oeuvre de bienfaisance dans l'Aisne en septembre 1917

L'usine d'armement Ballot à Paris

L'insigne de l’Association de la Libération française du 8 novembre 1942

Paris, usines Simon, les étapes de la fabrication du casque Adrian

La confection de chemises à l'Ecole des Ponts et Chaussées de Paris au profit de l'Union pour l'Organisation du Travail

Le Comité civil de secours américain à Blérancourt (Aisne) en octobre 1917

Les activités du port de Bordeaux et l'exposition de la SPA à Biarritz le 18 septembre 1916

Les magasins d'artillerie d'Orléans : récupération d'uniformes et d'équipement

Les quais parisiens

Le port de Rouen au mois de novembre 1916 : déchargement des marchandises à destination du front

Les délégués de la Douma visitent les usines de guerre de la région Rhône-Alpes

La médaille interalliée dite « de la Victoire » à l’occasion des commémorations du 11 Novembre

Présentation exposition « de Gaulle, Brest et la mer »

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Débarquement en Normandie de la 2e division blindée, commandée par le général de division Philippe Leclerc de Hauteclocque

23 novembre 1944 - Libération de Strasbourg

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6 juin 1944, les alliés débarquent sur les côtes normandes, la libération de la France commence.

Le 1er août, les hommes et les véhicules de la deuxième division blindée (2e DB) foulent à leur tour le sol normand. Commandée par le général Leclerc mais intégrée à la IIIème armée américaine du général Patton, la division participe activement aux combats pour libérer la Normandie avant de se diriger vers Paris. Si les Américains considèrent la capitale française comme un objectif secondaire et souhaitent dans un premier temps la contourner, la portée symbolique de sa libération par des soldats français n'échappe ni à Leclerc, ni à de Gaulle, qui parviennent à convaincre Eisenhower et prennent l'initiative de diriger leurs chars vers la capitale. L'arrivée des blindés de Leclerc permet à la ville d’être libérée le 25 août. Le lendemain, l'homme du 18 juin et le vainqueur de Koufra descendent les Champs-Elysées sous les acclamations d’une foule en liesse.

La guerre n’est pour autant pas finie et de larges portions du territoire demeurent sous contrôle ennemi. Si les allemands sont battus à l’Ouest, l’Est est toujours sous domination nazie. Fort de son succès, Leclerc et ses blindés se mettent en route vers l’Alsace. Strasbourg est à son tour reprise par les français trois mois plus tard (23 novembre) après qu’ils aient traversé les Vosges et emporté, après de rudes combats, les dernières défenses allemandes. C’est alors l’occasion de rappeler que le serment de Koufra a été tenu.


 

Stalingrad